Ce matin c'est Esther qui descend Jango à terre pour sa promenade matinale. Ils profitent tous les deux d'un long moment sur la plage déserte. Par contre, cet affreux qui n'écoute pas Esther s'est roulé dans le sable avant de remonter sur l'annexe. Nous avons maintenant la plage à bord!
Nous avançons jusque devant le port afin de pouvoir aller faire quelques courses, les vivres fraîches commencent à manquer.
Du mouillage, le port nous rappelle celui d'El Kantaoui en Tunisie, Petite maison blanche et palmiers.
Bien que l'île soit connue depuis les phéniciens, elle est restée inhabitée jusqu'au 19eme siècle faute d'eau douce sur place. Les vents qui soufflent sur cette île basse rendent l'agriculture difficile. En témoignent les figuiers qui poussent à l'horizontale. Afin que les fruits ne pourrissent pas sur le sol, on pose des tuteurs sous les branches.
Le tourisme a modifié cette économie mais en gardant taille humaine. Depuis de nombreuses années les constructions sont interdites et le vélo a été fortement développé.
Cette après-midi Esther descend de nouveau Jango à terre, mais en paddle. Tous deux font l'animation dans le mouillage.
En fin d'après-midi, nous descendons au port. La grande digue extérieure sert d'abri pour les navette en provenance d'Ibiza. Le port des plaisanciers et des pêcheurs se loge dans un petit creux. Quelques restaurants bordent les quais. L'ancienne ville se trouvait à l'intérieur d'un rempart dont il ne reste qu'une petite partie en bien mauvais état. Le petit village est coincé entre la mer et un grand étang. Malgré la chaleur, il y a une effervescence importante: vélos, scooters circulent en tous sens.
Afin de pouvoir nous balader sans être cuits par la chaleur, nous achetons une belle glace! Nous terminons notre promenade par le supermarché.
Nous avançons jusque devant le port afin de pouvoir aller faire quelques courses, les vivres fraîches commencent à manquer.
Du mouillage, le port nous rappelle celui d'El Kantaoui en Tunisie, Petite maison blanche et palmiers.
Bien que l'île soit connue depuis les phéniciens, elle est restée inhabitée jusqu'au 19eme siècle faute d'eau douce sur place. Les vents qui soufflent sur cette île basse rendent l'agriculture difficile. En témoignent les figuiers qui poussent à l'horizontale. Afin que les fruits ne pourrissent pas sur le sol, on pose des tuteurs sous les branches.
Le tourisme a modifié cette économie mais en gardant taille humaine. Depuis de nombreuses années les constructions sont interdites et le vélo a été fortement développé.
Cette après-midi Esther descend de nouveau Jango à terre, mais en paddle. Tous deux font l'animation dans le mouillage.
En fin d'après-midi, nous descendons au port. La grande digue extérieure sert d'abri pour les navette en provenance d'Ibiza. Le port des plaisanciers et des pêcheurs se loge dans un petit creux. Quelques restaurants bordent les quais. L'ancienne ville se trouvait à l'intérieur d'un rempart dont il ne reste qu'une petite partie en bien mauvais état. Le petit village est coincé entre la mer et un grand étang. Malgré la chaleur, il y a une effervescence importante: vélos, scooters circulent en tous sens.
Afin de pouvoir nous balader sans être cuits par la chaleur, nous achetons une belle glace! Nous terminons notre promenade par le supermarché.

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